JOURNAL D'UN FILS DE DIEU EN ROUTE AVEC JÉSUS |
CHAPÎTRE SIX
VISIONS APOCALYPTIQUES DU BUISSON
ARDENT
I
Le fait d'être vivant
est le commencement de toutes choses. Si Dieu était mort, rien n'existerait ;
mais parce qu'il est vivant, l'Univers existe. C'est la même chose pour nous,
si nous étions morts, il n'y aurait pas de pensée, mais parce que nous sommes
vivants, l'avenir nous appartient. Et c'est là que commence la lutte
fratricide.
La bataille pour
s'approprier l'avenir de la vie sur Terre donne lieu à la guerre. Les
différences idéologiques fondées sur ce que devrait être notre avenir et qui
devrait être le dieu devant lequel nous devons nous agenouiller ouvrent un
concours qui ne s'arrête devant rien, pas devant la loi, pas devant la guerre
civile, pas devant le génocide : la dictature est le chemin de la gloire.
Le dictateur né dans
le ventre de la démocratie croit que parce qu'il est né en démocratie, sa
dictature est légitimée.
En somme, il suffit
de se détacher des circonstances, de s'asseoir nu, et vêtu d'une pensée
abstraite, et du feu du Buisson de contempler le mouvement qui secoue la
surface des eaux des nations, et d'en tirer des conclusions.
Pourtant, celui qui
pense que les yeux et les oreilles suffisent à légitimer des conclusions se
trompe.
La Pensée créatrice
est la véritable nature de l'intelligence humaine : soutenue par un cerveau
articulé dans le but de procéder à l'isolement des circonstances qui tendent à
annuler le pouvoir de la Nature humaine, la Pensée ne peut tirer les
conclusions légitimes nécessaires pour lui permettre de comprendre l'espace et
le temps dans lesquels elle se meut sans une Connaissance exacte du passé. Il
est donc entendu que tout dictateur aspirant à la tyrannie, ou seulement
dictateur d'un jour, la première mission qu'il doit à son existence heureuse
est d'amputer la Mémoire du Peuple, d'en limiter la dimension dans le Temps, et
de procéder à une corruption de la Vérité historique dans la bande laissée à
l'étude. Il s'agit d'une loi générale.
Quel que soit
le berceau idéologique ou religieux d'où vient le prétendu dieu du jour, dans
son Manuel de la Résistance, ou Mein Kampz, il doit
par logique intégrer cette Manipulation de la Vérité Historique, nécessaire à
la lobotomisation des masses sur lesquelles son existence doit s'élever pour
vivre la vie de "dieu du jour".
Le dieu d'un jour est
comme un papillon qui sait que son existence dure 24 heures, avec la différence
que le papillon a un travail naturel, et que le dictateur provoque la ruine et
la misère, sinon la guerre civile, des peuples sur lesquels il élève son trône
de corruption.
Mais la simple
invocation de la Pensée Créatrice, même lorsque l'édifice de ses conclusions
est soutenu par une Connaissance Encyclopédique de la Mémoire de l'Histoire
Universelle, cette Puissance Naturelle ne suffit pas à recréer la Vraie
structure du Temps dans lequel on vit si l'Intelligence ne compte pas avec
Celui qui est le Créateur de l'Univers, et donc le Créateur de l'existence de
l'Homme.
La leçon de
l'histoire est revêtue de sagesse lorsqu'on contemple la mort de la philosophie
des sciences qui, au XIXe siècle, a déclaré la mort de Dieu.
Dieu mort,
c'est-à-dire sa loi dans l'homme, la société morale universelle abolie, les
nations sont devenues des bêtes meurtrières, et affamées de chair et de sang,
elles se sont livrées à l'orgie fratricide que nous appelons les guerres
mondiales du 20e siècle. C'est à l'athéisme scientifique et à l'idéologie de
l'international-socialisme que nous devons cette leçon, dont nous devons tirer
la vraie sagesse.
Cet athéisme et cette
idéologie sont en mouvement aujourd'hui ; car ce qui est naturel à la bête,
c'est son incapacité à faire de son intelligence un instrument de création au
service de tous les autres membres de l'arbre de vie.
En tant qu'homme, je
pourrais bien invoquer l'argument de saint Paul lorsque, s'adressant à ses
détracteurs, il mettait sur la table son combat pour la défense de sa Foi.
Depuis mon plus jeune âge, j'ai vécu ma vie dans un voyage continu à travers
les nations, j'ai habité dans beaucoup d'entre elles, et à travers d'autres,
j'ai voyagé dans des aventures pour apprendre à connaître la nature et ses
habitants. J'ai appris à me débrouiller dans les principales langues de la
planète, l'espagnol, la langue de mes parents, et l'anglais, auxquels j'ai
ajouté le français, et des connaissances de base, apprises sur le tas, en grec
moderne et en italien. Je me suis baigné dans les eaux d'océans, de mers et de
rivières dont l'existence n'est que cela, un nom sur la carte pour la grande
majorité de la population humaine. Mes jambes ont donné des coups de pied sur
des chaînes de montagnes et des vallées en Europe, en Asie et en Amérique.
L'Europe est devenue mon arrière-cour.
Londres, Rome,
Athènes, Madrid, Paris, ont été les quartiers de ma vie. De là, j'ai sauté dans
n'importe quelle partie de l'Europe, au gré du vent de l'esprit qui m'emportait
d'un endroit à l'autre. Venise, Florence, Corinthe, Argos, Salzbourg,
Bratislava, Vienne, Colmar, Helsinki, Budapest, Berlin, Klagenfurt, et bien
d'autres villes aussi belles qu'exotiques pour la plupart des Européens,
enfermées dans les limites de leur région natale, libres pour un week-end de
folle ivresse dans quelques îles macabres de la Méditerranée, de la mer Égée,
de l'Adriatique ou de l'Atlantique, étaient les quartiers de ma ville ; de
cette ville j'ai sauté en Afrique, en Asie et en Amérique, mon Monde.
40 ans pour un jeune,
c'est long : peut-on être fourmi et cigale en même temps ?
Pendant l'interrègne
entre mes voyages, ma passion était la lecture. J'ai mangé des bibliothèques
entières. D'autres achètent des maisons, des voitures, des choses
qu'ils achètent, et quand vous mourez, vous ne pouvez pas les emporter avec
vous. Mes choses étaient les maîtres des géants de la science et de la
littérature. Si Newton a fleuri qu'il a marché sur les épaules de géants, il y
en avait si peu à son époque, et même s'il y en avait eu un milliard de plus
qu'aujourd'hui, j'ai fait mon chemin sur l'arbre de la connaissance par la main
du Créateur de l'Univers. Il s'est émerveillé de moi et je me suis laissé
émerveiller. Ensuite, c'était l'heure de la récréation. Le vent se
lève et je retourne à mon autre passion, le voyage.
Car la Vigilance
seule ne donne à aucun homme le pouvoir de pénétrer la nature des événements
qui se déroulent autour de lui. Les auteurs de ces événements érigent un mur
impénétrable autour d'eux afin que personne ne puisse disséquer la nature de
leurs intentions, pénétrer la structure de leur cerveau et découvrir
l'impuissance dans laquelle ils existent et en raison de laquelle leurs actions
suivent la loi de saint Paul : "Je veux faire le bien, mais c'est le mal
qui s'accroche à moi". Et cela, au point de vue de la Charité chrétienne,
qui veut voir dans le mal qui naît de leurs volontés un peu de cette
bonté. Parce que nous savons déjà que certains sont plus mauvais que
Satan.
Sans Dieu, de qui
rien n'est caché, rien n'est vu. Et avec Dieu comme père qui vous enseigne
comme fils la vraie nature des événements qui se déroulent au fil des
décennies, les ténèbres deviennent lumière. Il ne faut donc pas s'étonner que
la première chose que fait tout dictateur en puissance soit de s'élever contre
Dieu, dans les écoles, dans les villes et dans les nations, dont le meilleur
exemple est Bruxelles et sa croisade contre le christianisme depuis que le
socialisme des années 80 a fait du palais des dieux son Olympe. La
sécularisation de l'Europe n'est rien d'autre qu'une guerre cachée, lancée
depuis Berlin, contre la fondation de l'Europe par le christianisme, d'où la
tentative d'effacer Noël du calendrier européen.
Cela dit, étant
chrétien de naissance et enfant de Dieu de plein droit, selon celui qui est né
de nouveau de l'Esprit, aussi puissant que mon cerveau puisse me permettre de
me croire dans l'interprétation de la Réalité, sans Dieu comme Maître
personnel, je n'aurais pas pu aller plus loin qu'aucune autre intelligence
n'aurait pu aller sur les ailes des mêmes conditions que j'ai vécues pour ma
joie et mon bonheur. C'est Dieu qui fait la différence, et c'est LUI qui,
voyant dans l'obscurité, fait voir à sa créature avec ses yeux ce qui se passe
vraiment.
40 ans à marcher main
dans la main avec HIS, c'est beaucoup. Elle donne surtout la Liberté d'ouvrir
les mots des dirigeants, sages et saints, qu'ils prétendent être, et de voir à
la lumière du jour la vraie nature contenue dans leurs déclarations "pour
la galerie".
Car le pouvoir de
l'homme est dans sa parole, c'est par la parole que le premier homme a été
trompé, et par la parole que les dirigeants, les sages et les saints procèdent
pour créer la ruine de notre époque.
Apprendre à découvrir
par les fruits de la Parole des hommes la vraie nature de leurs intentions, où
ils vont, ce qu'ils veulent, est vital pour éviter notre ruine.
Homme que je suis, le
Verbe étant ma vie, si je ne vivais pas sur Terre, je n'aurais aucun devoir
envers les autres ; le devoir envers sa créature vient de son Créateur. Mais je
suis ici, sur terre, et ce que font les autres me sont faits. Et je
ne le voudrais pas, mais il est impossible d'éviter l'existence de cette nature
pathologique de ceux qui ne veulent pas vivre de la sueur de leur travail mais
font l'impossible pour vivre de l'histoire, en mentant, en trichant, au besoin
en tuant, tout ce qu'il faut pour vivre comme des dieux sur le compte d'une
population qui veut croire en la bonté humaine mais ne sait pas accepter
qu'elle s'en serve pour cela, pour vivre sans donner un coup, à moins que ce ne
soit le coup de celui qui fait du Trésor de la Nation sa caverne d'Ali Baba.
L'Espagne n'est pas
la seule à être piégée dans ce réseau de corruption qui s'est étendu de
Bruxelles à toute la CEE. Mais comme je gagne actuellement ma vie ici, la force
majeure m'oblige à analyser la nature des circonstances qui m'entourent,
m'affectent et je vois qu'elles font souffrir une population qui travaille
toute sa vie pour enfin ouvrir les yeux sur le fait qu'elle n'est rien d'autre
que la victime du vampire politique national-socialiste, qui lui mord toujours
le cou mais ne finit jamais par lui arracher la vie, car ce serait rester sans
le sang dont il se nourrit. En gros, c'est la vraie nature de l'étape que
traverse l'Espagne.
De la fenêtre de mon
appartement à 200 euros par mois, vivant avec 420 euros, plus le bénéfice de
mes livres sur internet, je contemple la lutte d'un peuple qui a oublié une
chose en travaillant si dur : cultiver l'arbre le plus merveilleux qui existe,
la Sagesse qui naît de l'expérience d'une vie ouverte à la Connaissance vivante
des peuples d'autres nations, la joie de voyager autour de la Planète, notre
mère la Terre, et de ce Vaisseau pour ouvrir les yeux sur la beauté infinie et
parfaite des Cieux.
Asservi au pain
quotidien, le peuple s'est vu refuser de manger ce pain qui le rend fort devant
Dieu, et devant lui-même lorsqu'il se regarde dans le miroir et qu'il porte
dans son être cet album de ses propres souvenirs, divine richesse personnelle
qui fait de la vie un luxe et de l'existence une gloire bénie, même lorsque
l'existence passe par des étroitesses sur le chemin.
Avoir un riche passé
est le fondement d'un avenir lorsque la jeunesse aura disparu et qu'il faudra
commencer à se préparer à vivre sans cette force sauvage naturelle, désormais
transformée en pouvoir existentiel.
L'avenir de l'homme
est donc ce que nous devons voir à l'horizon. La civilisation de la Vie sur
Terre doit rompre tous ses liens avec la dernière étape de l'âge médiéval
qu'était la Société des Nations modernes, une tromperie née de la Réforme
protestante, Sous ce mensonge, on voulait cacher que la Réforme du
christianisme n'était pas un pas en avant mais un virage à 190 degrés vers le
passé bestial et brutal dont on espérait sortir après la Renaissance, et qu'en
marchant dans ce mensonge du soi-disant "monde moderne", on ne
pouvait s'attendre qu'à la chute des nations impérialistes néo-féodales dans
les guerres mondiales. Comme c'était.
Ces mêmes forces
impérialistes néo-féodales, soutenues par l'athéisme idéologique
national-socialiste, silencieuses pendant l'interrègne des 40 dernières années,
sont revenues de la glace, soufflant des messages de fumée et battant les
tambours de la guerre mondiale fratricide. Savoir lire ces messages de fumée,
s'opposer au bruit des tambours de guerre, se préparer à défendre la Paix
Mondiale, est le devoir de chacun.
L'avenir se construit
à partir du présent et se détruit à partir du passé par des forces bestiales
qui refusent de faire partie du même arbre des nations, des branches du même
arbre de vie, des frères et sœurs de la même famille mondiale, vivant sous la
même loi universelle de liberté et de justice. Mais comment peut-on
demander à celui qui a le Diable pour maître, et qui vit de son inspiration
infernale, d'écouter la Voix de Dieu dans l'Homme ?
C'est le dilemme qui
frappe nos poches aujourd'hui.
21/03
II
La vie est une
aventure. Avoir la vie à l'image et à la ressemblance de Dieu est une
merveille. Il y a des contradictions dans la société, si d'un côté elle ouvre
la porte à cette liberté, de l'autre elle vous asservit à la nécessité du
travail, dont Dieu n'a pas besoin. Dieu n'a pas besoin de travailler pour
vivre. Pas étonnant que Dieu appelle le travail une malédiction.
La civilisation n'a
pas été faite par des esclaves mais par des hommes qui n'avaient pas conscience
de la nécessité de travailler pour vivre. Et lorsque les esclaves ont voulu
créer une civilisation, ils en ont créé une à l'image de leurs chaînes.
Le communisme est la
civilisation née du socialisme utopique qui, comme le serpent du paradis, vous
promet la gloire et vous donne la ruine. Il n'est donc pas étonnant que
l'Ukraine, connaissant de première main la malignité du socialisme du XXIe
siècle, dont la tête est le monstre de Moscou, ait préféré mourir plutôt que de
vivre sous la loi des esclaves.
Mais ce qui est
merveilleux, c'est que les esclaves des autres nations n'apprennent pas la
leçon, et embrassent le socialisme, la mère du communisme, comme si le poison
qui tue les uns ne les laisserait pas morts. Ceci, apprendre la leçon de la
Vie, que ce soit sur sa propre chair ou sur le corps des autres, s'appelle la
Sagesse.
Car si la vie est une
aventure personnelle, le fait de vivre dans un monde d'esclaves et de maîtres
en perpétuelle guerre fratricide produit dans l'intelligence une réalité
extérieure que, du fait de l'impossibilité d'obtenir un billet pour une autre
étoile, elle doit vivre par la force, et qu'elle doit subir comme une
expérience.
Cette expérience, la
contemplation hallucinatoire d'un être qui, rien qu'en levant la main, peut
tout avoir et préfère ne rien avoir, un oiseau dans la main à cent qui
volent... alors qu'il est né pour être une de ces centaines de créatures en
liberté, est un phénomène pathologique pour l'étude d'une anthropologie
psychiatrique collective. A bien y réfléchir, il n'est pas étrange que la vie
extraterrestre ait érigé un cordon sanitaire autour de la Terre ; plutôt que de
vivre sous la loi d'un Poutine cosmique il vaut mieux laisser notre monde se
dévorer lui-même, si notre monde n'est pas capable de se lever et de couper les
oreilles et les queues du Minotaure du Nord que le monde périsse dans son
apocalypse fratricide-suicidaire... Que faire ! Donnez-leur la paix, et ils
s'ennuient. Donnez-leur la science, et ils créent des armes de destruction
massive au lieu de s'ouvrir au voyage dans les étoiles. Ce n'est que dans la
guerre qu'ils trouvent l'extase de savoir qu'en aspirant à devenir des dieux,
ils ont perdu leur chemin et qu'au lieu de regarder Jésus-Christ, ils regardent
le miroir de Satan. Il vaut mieux qu'ils croient qu'il n'y a pas d'autres mondes,
qu'ils sont seuls dans l'Univers, qu'ils sont la seule vie dans le Cosmos, et
qu'ils retournent à la poussière sans laisser d'autre héritage que le souvenir
de la folie que la Science du bien et du mal génère dans chaque monde soumis à
ses lois. Béni soit Dieu : "Ne mange pas, tu ne mourras pas".
Regardez la terre, regardez la preuve.
Ainsi, contraint de
vivre dans un monde où être une bête est la graine de la fierté, être corrompu
la route du pouvoir, et faire un pacte avec le crime la garantie de la survie,
on reste immobile, nole me tangere,
ou je deviens un ver.
Et je pense : Qui
s'étonne que lorsque l'Europe est gouvernée par des vers, ils rient et se
félicitent de leur charité envers l'Ukraine ? Ils sont meilleurs qu'eux !
Contre les missiles hypersoniques, les armes biologiques et atomiques, ils
envoient des pistolets à eau et des fusils Halloween aux Spartacus de Kiev.
C'est la façon dont ces vers civilisés font des pactes avec le Diable ; comme
si le Diable était pour des pactes avec des vers nageant dans les eaux
corrompues de Bruxelles comme des cygnes dans le Danube, plus beaux eux, tout habillés de blanc, le masque payé par les esclaves de
toute l'Europe, les coupes de cheveux d'eux, les sourires d'eux. Bonheur,
longue vie aux dieux du nouvel Olympe !
Renaître à la vie de
l'Intelligence à l'image et à la ressemblance de Dieu est un événement ; mourir
est un Fait nécessaire pour ressusciter ; non pas qu'au Commencement Dieu en
ait fait une condition sinequanone,
l'Immortalité était Sa victoire scientifique personnelle, avant qu'Il ne crée
l'Homme, sur l'Origine duquel Il a planté et cultive l'Arbre de Vie des Mondes
; L'homme a choisi de mourir plutôt que de vivre éternellement ; il est vrai
aussi qu'il a été trompé par la ruse d'un Serpent ; depuis lors, la guerre
était notre pain quotidien, un pain qui venait de l'enfer, contrairement au
pain qui descendait du ciel, et que, remettant les deux sur la table, Dieu nous
a donné à choisir : le pain de la paix ou le pain de la guerre.
Comme vous pouvez le
constater en déplaçant vos yeux de trois cent soixante degrés, nous n'avons pas
tort de dire qu'il y a deux groupes de personnes qui ont choisi le pain de la
guerre. L'un est le Bloc Socialiste du 21ème siècle, dirigé par le chef de
guerre ukrainien, et parrain de la Nouvelle Gauche
européenne. L'autre bloc est l'Islam, en guerre perpétuelle de
massacre contre les chrétiens en Asie et en Afrique. A partir des événements
vécus par l'Histoire Universelle de l'Humanité au cours des derniers Millénaires,
nous pouvons déduire sans faire d'erreur de virgule, de point ou d'accent que
la GUERRE est le renoncement total, absolu, définitif de l'Humanité. Celui qui
se nourrit du pain de l'enfer n'est pas un homme. L'homme qui vit de la guerre
a des jambes et des bras, des yeux et des oreilles, mais toutes les bêtes ont
des bras et des jambes, des yeux et des oreilles. Ce qui distingue l'Homme de
la Bête, c'est le Pain de la Paix, le Pain descendu du Ciel. Deux réalités donc
: Celui qui mange le pain qui est monté de l'enfer est une bête ;
celui qui mange le pain qui est descendu du ciel est un enfant de Dieu, un
citoyen de son royaume. La question est évidente :
Que fait-on
d'un loup meurtrier qui, malade de la chair des agneaux, veut la chair du
berger ?
Bruxelles et
Washington, Londres et Paris disent qu'il faut abattre le berger, laisser le
loup se régaler de la chair du berger, car une fois son estomac rassasié, le
sang et la chair du peuple ukrainien dévorés par le loup et ses chiens, le
Grand Canard de l'Enfer reviendra dans le divin Moscou du Patriarche de la
Troisième Rome pour partager le butin avec les 150 millions d'esclaves national-socialistes sur la misère spirituelle et
intellectuelle desquels le Monstre de Moscou, de la race des Huns blancs, a
élevé son trône.
Du feu du Divin
Buisson s'ouvre l'horizon du XXIe siècle. Peut-il y avoir un avenir pour un
monde gouverné par des meurtriers de masse et des lâches qui, au lieu
d'affronter le loup, comme le fait le berger, font la queue pour pactiser avec
le monstre une fois la viande dévorée ?
Ne demandez pas aux
scientifiques. Les scientifiques sont silencieux. Ni les évêques, les évêques
ont mis leurs mains sur leurs bouches. Ni les politiciens, les politiciens
cultivent les fleurs avec lesquelles ils orneront un cimetière appelé Ukraine.
Est-il si difficile
de briser les chaînes de la peur de la mort ?
Cette peur est le
vent sur les ailes duquel voyage la terreur de l'enfant du diable.
Dieu a créé l'homme
pour qu'il soit son égal, sans peur de la mort et invincible dans ses
batailles. Voyez l'Homme maintenant, caché derrière des jupes et à genoux
devant le Hun du Nord.
De la chaleur du feu
dans le buisson vous entendez des mots d'une langue inconnue, qui traduits en
chrétien viennent dire que d'ici 2025 l'Europe va créer une armée de 5.000
soldats de plomb. La destruction frappe à ses portes et le dieu de la
corruption bruxelloise ne pense qu'à jeter des pierres ?
Les dieux de
Bruxelles sont tellement habitués à pactiser avec des organisations criminelles
de toutes nations et espèces, avec des dictateurs et des génocidaires quel que
soit leur drapeau ou l'ampleur de leurs crimes, qu'ils ont fini par devenir
aveugles. En voyant ce que nous voyons en Ukraine, les dieux de l'Olympe
européen croient-ils que le nouvel Attila de la race de Gengis Khan va
s'arrêter, vraisemblablement terrorisé, devant leurs 5 000 soldats de plomb. Je
répète la question : qui est le fou qui, pouvant tout avoir, choisit de ne rien
avoir ? Pourquoi le boucher d'Ukraine arrêterait-il sa guerre pour tous les
royaumes du monde sur les rives de la mer Noire ?
C'est l'expérience
d'être en vie. Ici, en Espagne, que le dictateur soit damné, que le
dictateur soit damné.
Le dictateur
socialiste de facto est passé de l'aspiration à gérer 140 milliards d'euros, et
à prendre sa retraite comme son maître Zapatero, à vivre la vie d'un dieu, à
croire réellement à la promesse des pro-russe communiste partis politiques,
créatrices de la tyrannie constitutionnelle vénézuélienne. Par la Grâce et la
Sagesse des pro-russe communiste partis politiques et de leurs alliés
ANTI-ESPAGNE, l'Espagne payant pour le Pouvoir de Vie le prix de la
Désorganisation de la Couronne des Rois Catholiques, la Démocratie
Nationale-Socialiste serait transformée en un pont d'assaut et de conquête de
la dictature du XXIème siècle dans la Péninsule.
Les principes de la
transformation d'une démocratie en tyrannie, en utilisant les mécanismes de la
démocratie, sont simples. Couler l'économie, nettoyer le pays de toutes les
entreprises qui ne sont pas apparentées au Dictateur, créer un coussin de
survie dans la misère pour la classe des esclaves, faire comprendre à quiconque
veut vivre que ce n'est qu'en soutenant le Dictateur qu'il sera libéré de la
misère générale nécessaire à son élévation. La subvention universelle, en tant
qu'autoroute à grande vitesse, conduit l'État libre vers un État de corruption
légale aux pieds duquel le ministère public, le Trésor, les armées et les
forces de sécurité doivent être à genoux, retirant les pommes saines du panier
et le remplissant de pommes pourries. Le message pénètre le peuple, celui qui
veut adhérer au socialisme du XXIe siècle survit, celui qui ne le veut pas,
chacun pour soi.
Syndicats,
nationalistes, indépendants, terroristes, "tous unis ne seront jamais
vaincus". Les nazis sont tous ceux qui s'opposent à l'intronisation du
dictateur national-socialiste.
La phase finale,
après les deux premiers mandats, consiste à suivre l'exemple du Russe et du
Vénézuélien, à amputer la Constitution et à en créer une sur mesure afin que le
costume du dictateur l'accompagne jusqu'à sa mort.
Jusqu'à présent, tout
va bien. La misère des subventions se répand dans toutes les régions hispaniques
comme le feu sur un baril de poudre ; l'attaque contre la liberté, et la
prospérité, est massive ; et comme le Diable vient à la rescousse des siens, la
pandémie et la guerre d'Ukraine sont les deux béquilles qui l'aideront à
installer le socialisme du XXIe siècle dans l'Espagne qui fut autrefois la
fierté et la gloire de l'Europe, et qui prépare aujourd'hui son pacte avec la
Russie, une fois que Berlin et Bruxelles auront cédé à ses
exigences. Ils dissimulent ce pacte sous le bruit loufoque des
désaccords entre maître et élève.
L'histoire en tant
qu'expérience intellectuelle vivante est une grande leçon.
Mais où est Dieu ? Le
Diable aide les siens et Jésus-Christ abandonne son peuple ?
Le Diable est en
rage. Cela s'est retourné contre lui. Le cordon sanitaire à Vox, que son
serviteur avait convenu avec le PP de Casado, a été défait.
Casado était un
traître au PP, comme l'était son mentor Rajoy ; ce qu'on appelle un rat, une
taupe pour l'ennemi, une mine sous le mur pour faire sauter le bâtiment de
l'opposition. S'il avait été un homme du PP, Rajoy aurait démissionné, passant
la présidence au vice-président ; mais au lieu de cela, il a préféré céder le
pouvoir à l'ennemi, en échange de l'immunité pour les affaires de corruption de
son équipe.
Il a vendu le PP et
mis un rat au service du PSOE avec pour mission d'arrêter VOX, et la promesse
de passer le témoin du gouvernement au PP après 8 ans de pouvoir.
Un imbécile est une
personne qui fait confiance à quelqu'un dont la parole ne vaut rien. L'Europe
est gouvernée par des imbéciles. Ils croient que le fils de Satan qui a juré la
liberté pour l'Ukraine en 1994 et l'a accomplie en massacrant sa population, le
même serpent moscovite va garder les siens devant les frontières de l'Europe au
lendemain de la destruction de Kiev.
Et les dieux de
Bruxelles sont tellement habitués à traiter avec leurs propres vers qu'ils ont
osé mettre le boucher de Mariupol dans le même sac.
La philosophie de
Bruxelles est "celui qui ne pactise pas avec le diable, meurt", et
ils préparent déjà le Nouveau Mémorandum par lequel Moscou arrêtera sa guerre
aux frontières de l'Europe en échange d'une compensation financière pour les
dommages causés à son économie par l'ingérence de l'Europe dans sa guerre
contre l'Ukraine.
C'est à partir de cette
position que l'on peut comprendre la déclaration héroïque du ministre
bruxellois des affaires étrangères selon laquelle, d'ici 2025, Bruxelles créera
une garde prétorienne de 5 000 légionnaires prêts à mourir en tuant. 5.000
légionnaires contre 500 millions de la Fédération de Russie. Vraiment
pathétique !
L'astuce pour éviter
le crime de guerre de Bruxelles est simple. Puisque le droit international de
l'homme considère l'absence de secours comme un crime, Bruxelles envoie quatre
petites frappes en Ukraine et, tout en pactisant avec le diable pour le mémorandum
frontalier sur le cimetière ukrainien, ils se moquent de la Cour des droits de
l'homme.
22/03
III
Il serait en effet
étrange que Dieu ayant écrit "Faisons l'homme à notre image et à notre
ressemblance" et ayant devant Lui ce que nous voyons devant nous, Dieu
puisse se regarder dans le miroir et se dire "Je suis Dieu". Bien au
contraire, étant donné d'une part la conception métaphysique que nous avons de
l'Être divin, intellectuellement élaborée, conclusion suggérée à la pensée par
l'existence de Jésus-Christ, et d'autre part la vision quotidienne de l'être
humain, dont nous voyons l'exemple suprême dans le Boucher du Nord, la
résurrection visible des Bouchers du XXe siècle, Face à cette réalité
comparative, nous n'avons d'autre choix que de convenir avec Martin Luther que
sa Muse était un Dieu caché, un Dieu qui, face à la comparaison entre le modèle
métaphysique et l'image visible au niveau du sol, n'aurait d'autre choix que de
se cacher dans la honte.
En quoi l'homme de
tous les siècles est-il semblable à ce Dieu qui a écrit "Faisons l'homme à
notre image" ? En prenant les Écritures au pied de la lettre, en effaçant
le Nouveau Testament de la Bible, il ne nous reste que le Monstre de Calvin, un
Être qui n'est pas de ce monde et qui s'amuse à en griller quelques-uns et à
remplir son Zoo paradisiaque de monstres comme lui.
Nos penseurs
classiques par ce qu'ils voyaient ils déduisaient ce qu'il était, et voyant
l'homme qu'ils étaient, et autour d'eux se déplaçait, ils déduisaient que
l'homme étant l'homme des dieux leurs semblables par la force logique les dieux
immortels devaient être soumis aux mêmes passions que les mortels. La morale de
la mythologie classique était ainsi bénie : celui qui avait conquis le plus de
terres était un Héros, et celui qui avait soumis le plus de peuples au discours
de son épée était digne de l'Olympe. N'ayant pas le modèle original, devant
déduire de ce qu'ils ont vu le moule, la mythologie classique est devenue la
plus haute pensée jusqu'ici sur la moralité humaine.
Nous sommes soumis à
la même structure de la Pensée. Nous ne devons pas oublier que la logique
classique a été adoptée par la pensée chrétienne européenne, qu'elle a été
développée et exportée dans la civilisation médiévale par Saint Augustin, sur
laquelle, après avoir surmonté la crise de la chute du monde antique,
l'intelligence a atteint sa structure la plus élevée, son pouvoir
d'abstraction, avec Saint Thomas d'Aquin, à partir duquel le progrès de la
capacité d'abstraction de la pensée a fait des sciences son champ de culture,
un champ dans lequel sont nés les géants qui ont porté Newton sur leurs
épaules. La victoire de la résurrection de l'intelligence en main, les
successeurs de Newton ont rapidement tourné le dos à la civilisation qui avait
permis la naissance de ces géants. Mais il s'agit de la Bio-Histoire des
Sciences, une autre affaire.
Le fait ne ment pas.
La question ne peut être mise de côté : qui était le compagnon de Dieu : Caïn
ou Abel ? Transférons la question au niveau du sol : Qui est l'homme taillé
selon le modèle divin que nous avons en Jésus-Christ : Poutine ou Zelenski ?
Depuis le feu qui
alimente la guerre des morales existantes, la pensée ne peut rester
indifférente au massacre des nations en route vers l'autodestruction de la vie
sur Terre.
Il est évident que
l'entrée de Jésus-Christ dans l'horizon de notre intelligence a révolutionné la
mythologie classique, renversé son Olympe et nous a confrontés à l'Homme
véritable contenu dans la Parole : "Faisons l'homme à notre image et à
notre ressemblance". Parce qu'il y a Jésus-Christ, le Dieu caché de Luther
était Satan et le monstre de Calvin était le Diable. Si Jésus-Christ n'avait
pas été ECCE HOMO, la raison claire de Luther aurait été sainte et pure. Mais
il y avait Jésus-Christ, et en LUI nous avons vu l'HOMME que DIEU a engendré,
d'abord dans son ÊTRE et ensuite dans sa CHAIR, pour vivre en chaque homme
comme un enfant de Dieu et un citoyen de son Royaume.
Ici entre le Problème
des Millénaires, résolu par la Doctrine de la Sainte Mère Eglise Catholique
sous l'inspiration du Saint Esprit ; donc je ne vais pas ajouter ou enlever un
mot de Sa Création ; et je vais reprendre la première flamme qui a allumé ces
lignes. Je veux dire que Dieu n'aurait pas pu regarder son Fils face à face, et
encore moins ouvrir sa bouche pour dire ce qui a été écrit si sa victoire sur
la question de l'immortalité de la vie dans son univers n'avait pas été
conquise avant la création du nouveau cosmos. Dieu pourrait-il asseoir sa
gloire de créateur sur une impossibilité insurmontable pour son omniscience ?
Enfin, on pourrait ici se perdre dans la littérature poubelle si à la mode
depuis quelque temps, dont on nourrit les jeunes dès l'enfance afin d'amputer
leur pouvoir de jugement critique. Il est entendu qu'une population incapable
d'analyser les paroles de ses gouvernants est le rêve, l'utopie de tout
aspirant dieu d'un jour.
L'événement de la
résurrection du Fils de Dieu est le discours de Dieu sur l'immortalité de l'homme,
qu'il a créé à son image et à sa ressemblance pour avoir une vie éternelle
comme la sienne, c'est-à-dire revêtue d'indestructibilité. Dieu a
non seulement vaincu la mort créée en élevant la vie dans son univers à
l'immortalité, mais il a fait un pas de plus en l'investissant de
l'indestructibilité naturelle à son être. L'être créé était revêtu de la nature
incréée de son créateur. Des paroles qui auraient été emportées par le vent si
le Fils de Dieu lui-même n'était pas descendu du Cœur de cet Univers pour se
faire homme et, par sa Résurrection, écrire le Discours de la victoire de son
Père sur la mort.
Dans l'Histoire
divine de Jésus-Christ, j'ai abordé le thème de la révolution du cosmos qui
s'est produite lorsque l'Être divin s'est formé dans l'omniscience créatrice et
s'est fixé comme objectif biohistorique personnel la
création d'un univers qui lui est propre et dans lequel la vie, libérée de la
mort, jouit de l'existence à son image et à sa ressemblance. Ce qui est écrit
est écrit, nous passons au niveau suivant.
Il est évident que la
Vie Immortelle à l'image et à la ressemblance du Créateur du Nouvel Univers
implique l'indestructibilité. Qui a deux côtés. Disons-le comme ça : Je peux me
suicider, mais je ne peux pas mourir. Je meurs, mais je ne peux pas être
détruit. Dès que je ferme les yeux, je les ouvre. Dieu m'a fait à son image et
à sa ressemblance en tant que Moi. Ainsi, ce qui était pour moi un Bien divin
devient un Mal diabolique, car en voulant mourir je ne peux pas consommer mon
désir, de sorte que l'indestructibilité qui était mon Paradis est maintenant
mon Enfer. D'où la question : pourquoi Dieu ne m'a-t-il pas demandé si je
voulais vivre la vie à son image et à sa ressemblance ?
Une question oiseuse
: faut-il demander à nos enfants, alors qu'ils ne sont pas encore nés, s'ils
veulent naître ? La création se soulèvera-t-elle contre son créateur et
dira-t-elle : "Pourquoi m'as-tu créé ? La Neuvième Symphonie
accusera-t-elle Beethoven d'être mauvais ?
Le discours sur la
résurrection de Jésus-Christ a donc deux fronts. D'une part, gloire bénie, nous
sommes créés pour jouir de l'Immortalité, avec en prime l'Indestructibilité,
dans un Univers dont le Roi est ce même Jésus dont nous redoutons l'Histoire
dans le Nouveau Testament. Pain béni qui est descendu de l'univers que son Père
a créé, par lui et pour lui, pour nourrir notre courage et protéger notre
pensée contre ce monstre du calvinisme qui a créé les uns pour la gloire et les
autres pour l'enfer, et pour lequel il a dû cacher son visage après nous avoir
montré cet autre visage, divin, en Jésus-Christ. La conclusion du discours
divin était ainsi écrite : DIEU EST AMOUR. Arrêt complet.
Mais d'autre part,
bien que créée pour être Immortelle et Indestructible, cette Réalité dépend de
la Personnalité de ce même Dieu qui a vaincu la Mort dans le Cosmos, et a créé
un Nouvel Univers dans lequel l'Arbre de Vie des Mondes a été immunisé, disons,
contre la Destruction que la Mort, faisant son œuvre depuis l'éternité, a
opérée dans tous les Mondes avant la Création de l'Univers par Dieu créé pour
être Son Monde. Le fait est que ce Dieu a une Personnalité morale, sociale,
philosophique, théologique, anthropologique, fondements d'une Conscience
ontologique sur l'édifice de laquelle Il dit de Lui-même : "JE SUIS CE QUE
JE SUIS".
Et c'est là que
commence le dilemme. La création d'un monde construit pour être la maison de
nombreux peuples, chacun créé dans des espaces et des temps différents,
implique une Constitution universelle, le tronc législatif du Royaume auquel
Dieu donne naissance. Et de toute évidence, cette loi universelle reflète la
personnalité intérieure de la conscience du législateur. Le Royaume de Dieu est
une société établie sur le principe de la personnalité morale, sociale,
métaphysique, théologique et anthropologique de Dieu lui-même. L'Incarnation de
l'Esprit de cette Loi Universelle, JESUS CHRIST Lui-même.
Aimer ou ne pas aimer
vivre dans cette société du Créateur avec sa Création est une décision que
chaque créature née à son image et à sa ressemblance, en termes d'être, doit
prendre. Non pas que Dieu, en tant que Créateur, envisage cet acte : un père
envisagerait-il de demander à son fils, une fois adulte, s'il veut toujours
être son fils ? C'est absurde !
Mais le fait est que
cette loi est entrée dans SON monde à la suite d'enfants qui se sont demandé
s'ils voulaient rester des enfants de Dieu. C'est très grave. Car ayant été
créé Immortel et Indestructible, quitter la Maison de Dieu implique le
Bannissement hors des limites de Sa Création, et le Cosmos entier étant Sa
Création, et hors des rives de ce Nouveau Cosmos, s'étendant à l'infini pour
l'éternité, ce qui existe est le Cimetière du Vieux Cosmos, où pouvez-vous
aller ?
Si mauvaise est
la Loi universelle à partir de laquelle Dieu a articulé son Royaume pour que
tous les peuples, gouvernés par le même Esprit, trouvent ensemble dans sa
Sagesse créatrice la MUSA d'un Divin Avenir... Quels sont les principes de cet
esprit, le sol dans lequel la Loi a pris racine, et comme un tronc a donné à sa
Justice un Corps Incorruptible ?
Il est évident que la
Personnalité de Dieu, comme nous l'avons vu en Jésus-Christ, le propre discours
de Dieu sur Lui-même, dans une Merveille pour celui qui aime la Vérité, a dans
la Justice son étoile et dans la Paix sa vie. Mais ce même Jésus-Christ,
c'est-à-dire l'Image Vivante de la Personnalité Divine, est un Feu qui ne
s'éteint jamais contre ceux qui font de la vie leur Guerre, de la Justice leur
prostituée, et de la Vérité leur arme de crime. Face à ce discours de Dieu,
l'intelligence de l'homme ne peut pas se contenter de regarder ce qui se passe.
L'HOMME en Jésus-Christ est la mesure de toutes choses, le bâton qui élève le
mur entre le Bien et le Mal, le miroir dans lequel nous voyons le vrai visage
de tous les hommes. Par Lui nous savons que celui qui aime la Guerre est un
enfant de Satan, et que celui qui aime la Paix est un enfant de Dieu.
Maintenant, entre
Poutine et Zelenski, qui est le fils de qui ?
Il est évident de
dire que ce qui est vrai pour un fils de Dieu est vrai pour toutes les
créatures. C'est-à-dire que le fait circonstanciel de la mort du corps n'annule
pas l'acte créateur de l'homme à l'image et à la ressemblance de Dieu.
Indestructible est l'Âme Universelle que Dieu dépose dans la Vie, la revêtant
de Sa Nature Divine en ce qui concerne l'Existence, la seule pensée de devoir
affronter Dieu dans un Jugement Dernier pour répondre des crimes et délits
commis sur Terre lorsque la Loi du Roi est écrite, cette seule pensée suffit à
nous mettre à genoux, à jeter nos armes, à rejeter nos couronnes de nos têtes,
à nous tenir nus et à nous convertir à la Loi universelle par laquelle nous
sommes tous Citoyens du Royaume du Fils de Dieu, dont l'expression sublime de
la Personnalité est la Déclaration Apostolique : DIEU EST AMOUR. Et l'amour
paternel, qui ne meurt jamais.
D'où l'on pourrait
dire : mais bon, si Satan était Son fils, et que l'amour de ce Père ne meurt
jamais, pourquoi le bannir de Son Univers comme s'il n'avait pas été Son fils ?
Et là, je vais devoir
répondre par ce qui a été écrit auparavant. Qu'à sa majorité, un fils a le
pouvoir personnel d'abhorrer son père, de se déshériter, et de préférer vivre à
une distance infinie de sa présence plutôt que de rester sous la loi de sa
maison. C'est un pouvoir que nous possédons tous, créatures, à partir du moment
où nous sommes créés à l'image et à la ressemblance de notre Créateur. Satan et
ses frères rebelles ont choisi cette voie. Nous savons pourquoi. Ils ont
abhorré la loi de la paix et sont devenus fous du pouvoir qui découle de la loi
de la guerre. Ils ont choisi d'être des monstres meurtriers plutôt que de
rester unis à tous les enfants de Dieu par l'esprit de liberté qui naît de la
Paix. Ils ont assumé avec une pleine responsabilité intellectuelle et une
conscience mentale les conséquences de la guerre totale contre la loi du Roi
Divin. La loi a été prononcée. "Celui qui fait la guerre à son frère
mourra".
Ce qui nous ramène au
même dilemme.
Dieu ayant vaincu la
Mort dans Son Univers et investi Sa Création de l'Indestructibilité par cette
même Réalité, le Transgresseur sait que sa mort est le Bannissement pour
l'éternité du Cosmos dont Dieu est Seigneur et Créateur. Seigneur parce que
c'est sa propriété, et Créateur parce qu'il est à l'origine de la force
créatrice qui, sur la matière de l'ancien, a mis en mouvement le nouveau.
Conscient alors de ces faits, la Transgression ayant été consommée par la
Déclaration de Guerre signée du Sang du Premier Homme, le fils de Dieu, Adam,
la Sentence devait être exécutée.
J'ai déjà écrit dans
l'HISTOIRE DIVINE DE JÉSUS CHRIST pourquoi il a fallu tant de temps pour
l'exécuter.
Le fait est que cette
même sentence est toujours en vigueur contre tout homme qui reste dans le droit
de la guerre. Car la loi du Roi est éternelle. Sa Parole est la Parole, et la
Parole est Dieu, comme nous le savons tous. Cela signifie que, contrairement
aux hommes qui ont signé le Mémorandum de Budapest et qui, au nom de leurs
États, ont juré que les frontières de l'Ukraine seraient inviolables, et qui,
après deux décennies, ont trahi la parole de leurs États, faisant ainsi des
traités avec leurs États des paroles en l'air, pour la trahison desquelles ils
devraient répondre devant les tribunaux de la nation ; contrairement à la
parole des États, la parole de Dieu est éternelle, et sa loi pour l'éternité
est irrévocable.
En effet, si Dieu ne
nous avait pas envoyé son Fils, l'homme ne connaissant pas son Esprit et se
rendant coupable de crimes commis dans l'ignorance de la personnalité de Dieu,
la peine ne pourrait pas aller jusqu'à l'éternité, précisément à cause de cette
ignorance. C'est pourquoi, après la Résurrection, un Premier Jugement a d'abord
eu lieu, l'Ancien Monde répondant de ses crimes, et le Jugement Universel a été
laissé pour un Jugement Final, une fois l'Ignorance effacée de l'être de la
Race Humaine, afin que par les œuvres nées de la Vraie Connaissance le
comportement de l'ensemble de l'Humanité soit jugé.
La Rédemption a eu
lieu parce que le Fils de Dieu croyait qu'une fois que notre peuple serait
établi dans la vraie connaissance de l'esprit de son Père, les nations
accourraient vers la citoyenneté de son Royaume, et qu'une fois détaché de
l'ignorance, une fois que l'arbre de vie sur Terre serait guéri, notre monde
donnerait à son Créateur des fruits divins, une génération d'enfants de Dieu
qui, à la tête des nations, plaideraient par leurs actions pour leur peuple, la
race humaine, devant le Juge tout-puissant, notre Roi et Seigneur, Jésus-Christ
lui-même.
L'avenir est en phase
avec le présent. La guerre entre la Vie et la Mort a ouvert sa dernière bataille,
qui se joue en Ukraine ; d'un côté l'homme à l'image de Satan, de l'autre un
peuple né du sein de la Foi du Christ. Ce que nous faisons maintenant, que nous
restions assis à regarder Caïn frapper Abel à la tête, ou que nous nous levions
et courions à sa défense, marquera la nature des actions que nous verrons se
dérouler sous nos yeux dans les temps à venir.
La bataille qui se
déroule au niveau du sol se déroule au-dessus de nos têtes ; le Roi du Paradis
a reçu l'ordre de son Père de chasser Satan et ses forces et de les bannir de
la terre. Comme le serpent dont la tête est écrasée continue désespérément à
remuer la queue, ainsi Satan et ses forces cherchent la guerre mondiale que
notre Roi retire de ses mains. La question existentielle est pour la Russie et
ses alliés, soit ils déposent les armes et leurs peuples traduisent les pères
de la guerre satanique contre l'Ukraine devant des tribunaux militaires, soit
la Russie sera démantelée et disparaîtra de la carte politique de la terre. Le
Roi a la Verge de Fer avec laquelle il frappe les nations et elles se brisent
comme des vases de potier ; l'horloge fait tic-tac, plus le sang innocent
coule, plus le coup contre la Troisième Rome est fort.
23/02.
IV
Il semble clair, d'après l'étude de la Mémoire
Universelle de la Vie sur Terre, qu'aucun Monde ne peut subsister dans
l'Univers tant que son Progrès Technologique d'Expansion vers les étoiles est
soumis à la Loi de la Guerre Civile Fratricide Perpétuelle.
Comme nous le vivons actuellement, l'existence du fantôme
de Caïn est une constante. La nature de l'arme fratricide change ; hier c'était
une simple mâchoire d'âne, aujourd'hui c'est une mâchoire atomique de
destruction massive mondiale.
Même si ce Monde devait surmonter cette nouvelle crise de
la menace d'une guerre thermonucléaire absolue, la Ligne du Temps des six
derniers millénaires nous dit et nous affirme dans la conclusion finale : Ce
Monde est condamné, par cette Loi existante, à s'autodétruire dans une
conflagration universelle.
Peu importe les utopies rêvées, les illusions incarnées,
les idéologies développées, les religions bénies, le fantôme de Caïn, habillé
de nouveaux vêtements et de nouvelles mâchoires, revient de la tombe de plus en
plus puissant et fort pour consommer sa mission sacrée : Détruire la Vie sur
Terre.
En attendant, que chaque individu vive son temps
d'existence du mieux qu'il peut, en laissant chacun se débrouiller seul, et que
chaque nation se débrouille pour se donner l'existence la plus prospère
possible jusqu'à ce que l'horloge du temps atteigne son but et que la
Conflagration finale réduise en poussière ce qui est issu de la poussière.
Il semble évident que l'Expansion dans l'Univers d'un
Monde ne peut se réaliser que par l'Unité de tous les êtres de ce Monde dans un
sens Universel explicite, impliquant l'Abolition de la Loi de la Guerre Civile
Fratricide Perpétuelle, dont l'effet est, irrémédiablement, la Disparition de
leur Monde dans l'Espace et le Temps.
D'après ce que nous savons et comprenons du jugement de
Dieu contre celui qui a invoqué cette loi comme moteur de la civilisation,
cette loi d'impossibilité d'expansion dans l'univers et la science dérivée de
cette loi, cette impossibilité est absolue. Dieu a simplement déposé son
Expérience du Cosmos aux pieds de notre Monde ; ayant vu Monde après Monde
tomber dans le même Abîme, Dieu a simplement annoncé la Fin du Chemin. "Tu
es poussière, et tu retourneras à la poussière." Gare Termini ; le voyage fini, le Train de la guerre civile perpétuelle et fratricide est
arrivé à son terme. "Bye bye bébé ; profite de
la chronique de ta mort annoncée.
La question est de savoir comment abolir cette loi et
comment faire de l'unité universelle de la plénitude des nations de ce monde un
fait. Car, d'après ce que nous avons vu jusqu'à présent, nous pouvons croire
que l'idée même de construire la Paix dans une Organisation Universelle répond
par les nations à une lutte d'hégémonies, d'individus pour être le plus
puissant, le plus grand, le chef divin, le dieu de tous et pour tous devant
lequel tous, individus comme nations, doivent plier les genoux et fermer la
bouche, et ne peuvent l'ouvrir que pour souffler un amen.
Il en est ainsi aujourd'hui, alors que le Nouveau Caïn
annonce la fin de la vie sur Terre au nom de sa gloire et de l'hégémonie sacrée
de son peuple.
Pour reprendre le dicton classique : "Rien de
nouveau sous le soleil".
Et pourtant, la vision de notre besoin de regarder
l'Univers reste avec nous. La connaissance de la chronologie de la Terre ne
ment pas. La Terre a une durée d'existence, relative à sa capacité de maintien
de la vie, limitée dans le temps.
La croyance pathologique de la science et du pouvoir
international en la possibilité de continuer à vivre sur Terre pendant quelques
milliers d'années encore est un suicide complet. La désertification de la Terre
et la perte d'eau des calottes polaires sont une constante depuis la création
de la biosphère. Le changement climatique est une dynamique naturelle inhérente
à la structure même du système solaire et, surtout, à la temporalité des
structures astrophysiques. Dans le cadre de cette loi des structures
astrophysiques, la vie a un temps de croissance de la raison animale à
l'intelligence créatrice, pendant lequel, en tant que monde, elle doit diriger
ses ressources scientifiques et politiques dans cette direction universelle.
Pour y parvenir, l'unité mondiale dans la paix universelle est la voie de la
victoire.
C'est cette loi, la paix universelle comme voie de la vie
dans le temps, qui a été brisée lorsque le premier roi que les premiers
peuples, organisés en cités-états, avaient, en a décidé autrement. Au lieu de
la paix, ce roi a choisi la voie de la guerre comme moyen d'expansion de sa
civilisation dans les quatre régions.
Au lieu de rester un citoyen comme les autres, choisi
pour maintenir dans la Paix l'Unité de toutes les nations, ce roi a choisi
d'être un dieu parmi les hommes, d'établir sa parole comme une loi de vie et de
mort à laquelle tous les hommes doivent obéir sans limite, ou en subir les
conséquences. L'effet de la rébellion, comme on pouvait s'y attendre, a
immédiatement déclenché la révolution qui s'ensuivit ; son royaume est entré
dans une guerre civile fratricide qui, au fil du temps, s'est avérée être une
guerre civile mondiale perpétuelle.
Dieu, qui avait déjà fait l'expérience de Mondes qui
avaient passé sous Ses yeux comme incapables de se remettre de cette Blessure
de la Mort, laissant dans leur Mémoire le souvenir d'une Promesse non tenue,
voyant la Guerre Civile qui faisait déjà rage entre les Cités-États du Premier
Royaume connu dans l'Histoire de la Terre, prédit à notre Monde le fruit qu'il
récolterait de sa moisson de Mort et de Destruction. La vérité toute-puissante
qui a été engloutie dans la poussière royaume après royaume, empire après
empire. Et, pendant ce temps, la Terre meurt.
Le dilemme auquel nous sommes confrontés aujourd'hui est
de savoir comment rattraper le temps perdu. D'une part, comment mettre fin à
cette guerre civile perpétuelle et fratricide, non seulement au niveau local,
mais au niveau mondial, établir la paix au niveau universel et unir la
plénitude des nations dans la même loi et la même intelligence.
Les affrontements de personnalités et de pouvoirs nous
laissent impuissants à les faire descendre de leurs podiums de gloire, à les
faire renoncer aux privilèges qu'ils ont hérités et conquis pour vivre comme
des dieux d'un jour. Pour ces animaux rationnels, l'idée même de la création
d'une paix régie par une unité mondiale en route vers une civilisation dont
l'horizon est dans les étoiles est, hélas, une hérésie, une attaque directe
contre leur fantasme de rester, tant que dure la Terre, des dieux d'un jour.
Et nous y voilà. La croissance de l'intelligence de la vie
en nous a suivi son cours malgré son long et étroit parcours, même contre la
science elle-même. Car il faut distinguer l'Intelligence et la Science ; la
Science est l'instrument nécessaire à l'Intelligence pour développer son
activité créatrice. L'autre, qui consiste à croire qu'il n'y a pas
d'intelligence en dehors de la science, est la philosophie du mal qui, ayant
pénétré au cours du XIXe siècle dans l'esprit des pouvoirs en place, a conduit
et entraîné le XIXe siècle dans sa merveilleuse histoire de héros et de
méchants que nous connaissons sous le nom de guerres mondiales.
La réalité est que s'il n'y a pas d'intelligence, il ne
peut y avoir de science, mais sans science, l'intelligence demeure. La
préhistoire est la preuve invincible qui rend inutile de soulever la poussière
en argumentant sur ce qui est indiscutable. A moins que les scientifiques ne
veuillent maintenant nier que l'Art et la Religion n'ont rien à voir avec
l'Intelligence, il s'ensuit que la Science est le stade final de l'Intelligence
elle-même.
C'est vrai, sans la science, l'idée de subsister dans
l'espace et le temps est incroyable. Ce n'est pas pour rien, en invoquant à
nouveau la Pensée de Jésus-Christ, que Dieu a parlé de la Science du Bien et du
Mal, ouvrant ainsi l'Intelligence à une Loi qui, si nous étions soumis à sa
dimension, conduirait notre Monde à l'Instrumentalisation de la Science comme
Arme d'Autodestruction.
Malheureusement, cette génération dirigée par l'Adam de
la Bible a cru pouvoir contourner la Vérité divine et imposer sa propre loi à
la Mort elle-même.
Et voilà que nous assistons au fratricide du nouvel Abel
par l'ancien Caïn, tandis que les Judas qui ont vendu l'Ukraine autrefois et
l'ont maintenant abandonnée à la destruction, se réunissent pour se féliciter de
leur lâcheté à affronter le fils de la Mort.
La bataille qui nous attend pour construire cette
Organisation Mondiale de la Plénitude des Nations, de l'Unité pour cette Paix
Universelle perdue, à la lumière de la Loi de laquelle le 22ème siècle vivra, est
à nos pieds. Nous sommes sur le champ de bataille ; il n'y a plus de retour en
arrière possible. Judas refuse de se pendre et croit pouvoir conduire ses
collègues dans son camp après avoir conclu un pacte avec le Russe Caïphe pour
annexer l'Ukraine.
Ni le Caïphe russe ni le Judas anglo-saxon ne
s'attendaient à ce que l'Abel ukrainien préfère mourir avec ses bottes plutôt
que de retourner à la loi du néo-empire soviétique. Dans la Chronique annoncée
de l'annexion de l'Ukraine signée par l'OTAN, il était considéré comme acquis
que Kiev tomberait dans les 24 heures. Et tout le monde était heureux.
C'est la loi chez les lâches que la vue d'un homme
courageux est une offense à leur orgueil et ils préfèrent la mort prématurée du
héros que d'être accusés d'avoir participé à sa mort quand il est encore
vivant. En vertu de cette loi, ils se sont réunis aujourd'hui, 24 mars, dans
leur repaire européen pour se laver les mains et faire croire qu'ils font autre
chose que de certifier la mort de Kiev.
De son côté, le Caïn de Moscou maintient son théâtre de
guerre nucléaire pour cacher son pacte avec les traîtres du Mémorandum de
Budapest. Tout le monde gagne, personne ne perd. Ukraine ? Voyons, qui
penserait à se dépouiller de sa force nucléaire au nom de la paix de Judas ?
Et la question née de cette Trahison est claire : quelle
nation signera plus jamais un Traité de Paix avec une autre nation si la Parole
des Etats est un déchet entre les mains des Loups que les nations se donnent
pour Présidents ?
Sur l'autre question, tout le monde connaît la réponse :
Après cette guerre, la vente d'armes dans le monde entier
va exploser. Vive le business ! Et la course aux armements de tous les spectres
: nucléaire, biologique, drone, montera en flèche jusqu'aux limites nécessaires
pour déclencher cette grande orgie que serait la troisième guerre mondiale
absolue.
Mais en attendant, les Biden et leurs semblables auront
une vie divine, et danseront sur le cimetière ukrainien avec la conscience
claire et nette de ceux qui ont empêché une guerre mondiale atomique.
Hallelujah !
24/03
V
LE JUGEMENT JUGEMENT DE DIEU
CONTRE LA FILLE DE SATAN ET LEURS MAÎTRESSES
Qu'est-ce que c'est que ce que nous vivons ? Qui est ce
Dieu qui donne ses enfants à massacrer ? Qui dira désormais "je suis un
enfant de Dieu" ? Où est le fou qui veut naître pour être mis en pièces
par Satan pendant que Dieu tient un banquet de silence sur la tombe de ses
enfants ? Quel est ce Dieu ? Est-ce le destin des enfants que vous créez : être
mis en pièces pour le divertissement des dieux ? Qui accueillera le feu dans
ses entrailles pour ton Nom ? N'est-ce pas l'Ukraine ta fille ? Ou la parole de
ton Fils, le Tout-Puissant, l'Omnipotent, vrai Dieu du vrai Dieu, vaut-elle la parole de ceux qui festoient en versant dans
leurs coupes le sang de ton fils ukrainien ? "Heureux les artisans de
paix, car ils seront appelés enfants de Dieu". L'Ukraine ne s'est-elle pas
déshabillée au nom de la Paix sur Terre ? Ou bien sera-t-il appelé le pacifique
qui tourne le dos à Caïn et bénit son immonde Crime, le chien de guerre, fille
de Satan, la Russie ?
C'est pourquoi Dieu a écrit sa sentence dans le feu de
son serment contre les meurtriers de sa fille, en disant :
Contre la Russie : Célébre ton orgie, fille de Satan ; dévore la chair
des enfants et des femmes de mon peuple tant que tu as encore des dents. C'est
ainsi que je ferai à la fille de Satan : je déchirerai son orgueil et ses
vêtements de guerre ; de chaque ville de son empire, je ferai une nation, et
celle dont le nom est Russie sera une malédiction parmi toutes les nations de
la terre ; quiconque dira "je suis russe" sera exclu de la communauté
de tous les peuples et banni de la société de tout homme comme celui qui a
devant lui un enfant du peuple de Satan, un citoyen de l'enfer. Tes dents et
tes griffes de fer seront apportées dans la maison de ma fille, dont je ferai
la Tour sur laquelle flottera la bannière de ma Paix.
Contre l'Amérique : Voici ce que Dieu fera à celui qui
avait dans son bras une épée de salut et qui, dans son orgueil, est allé
coucher avec la fille du diable. Comme un ensemble d'étoiles dispersées par un
vent d'ouragan qui descend du Cosmos, ainsi fera Dieu avec votre drapeau,
chaque étoile sera projetée hors de l'Union, votre gloire sera jetée dans la
boue dont vous avez été formé, et l'idée même de revenir dans l'Union sera
noyée sous une pluie de sang dans laquelle votre Créateur fera de l'ivresse la
maîtresse de la fille de Satan. Le Judas que vous vous êtes donné pour seigneur
et roi devra répondre de son crime de guerre contre l'Ukraine, fille de Dieu.
Contre le Royaume-Uni : Vous vous êtes élevé contre le
Roi du Ciel et vous vous êtes déclaré dieu sur terre. Vous avez accusé Dieu
d'être le parrain de vos génocides et de vos crimes sauvages contre mon peuple
d'Europe. Tu as consommé ton crime en livrant une fille de Dieu au fils de
Satan. Et tu crois que tu vas échapper à ta ruine ? L'homme n'a-t-il pas été
créé à l'image et au prix de sa propre vie ? A quelle image as-tu été créé,
Londres ? A l'image de l'Antéchrist, ton dieu et seigneur, Pour le reste le
royaume sera déchiré, pour ne plus jamais se retrouver. Les diamants que vous
avez vu la couronne de la femme de Satan seront jetés dans les eaux de la
Tamise, et celui qui se précipitera pour les sauver se noiera dans les
profondeurs. Le Royaume de Dieu est un
peuple de braves, chacun est un héros ; sur les lâches, il est écrit "Dehors".
Demandez maintenant à vos divins, serviteurs de l'Antéchrist, la femme de
Satan, comment vous pouvez acheter le Juge qui a signé contre vous la Sentence.
Danse, Londres, tant que tu peux. Les frontières de l'Europe seront fermées à
vos enfants, et le chant de votre peuple sera abhorré par ceux que vous
abhorriez.
Contre la Chine : Ta mère est un dragon venu de l'enfer,
dès que tu as posé le pied sur la terre, des fontaines de sang ont jailli de
tes pieds, toutes celles de peuples innocents piétinés par ta soif et ta faim
de pouvoir. Dieu prendra la faucille et récoltera la moisson ; il prendra le
marteau et mettra votre puissance en pièces ; de chaque région de votre empire
infernal naîtra une nation, parmi laquelle votre nom, Chine, sera une abomination.
Contre la France : Qu'as-tu fait, ma fille aînée, comment
as-tu dormi avec les loups et livré ta sœur au massacre, alors que tu avais de
beaux peuples, tous tes frères, avec lesquels tu pouvais aller contempler les
étoiles de mes cieux, tu es allée avec Judas l'Anglo-Saxon bénir le massacre de
ta sœur ? C'est pourquoi Dieu vous
multipliera en nations, de vos grandes villes naîtront des États qui donneront
leur obéissance au ROI de l'Univers, votre Créateur, et seront citoyens de mon
Royaume. Paris, ta gloire, ne sera plus comptée parmi les grandes villes de la
Terre ; Madrid te surpassera en beauté, Rome en joie. Mais Dieu ne te détruira
pas, car il aura pitié de la France, sa fille.
Que regardez-vous donc, nations ? n'avez-vous pas assisté
aux funérailles de l'OTAN la veille de sa disparition ? ne croyez-vous pas que
le Roi du Ciel a le pouvoir d'exécuter la sentence que son Père a écrite avec
le feu ?
Pleure, Ukraine, car de tes larmes de douleur naîtra un
fleuve de joie qui élèvera ta tête au-dessus des nations du monde. Dieu
reconstruira tes villes, qui feront l'admiration des nations de sa création, ta
terre sera une Terre sainte, celui qui n'enlève pas ses chaussures en marchant
sur tes frontières sera consumé par le feu. Ainsi, les nations verront que les
filles de Dieu sont la prunelle de ses yeux, et quiconque osera lever la main
sur une enfant de Dieu sera maudit pour l'éternité.
Quand ces choses s'accompliront, vous saurez que le Roi
est Dieu.
25-03
FINIS
CRISTO RAÚL DE YAVÉ Y SIÓN
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JOURNAL D'UN FILS DE DIEU EN ROUTE AVEC JÉSUS |